Le corps percu, le corps cri, le corps d’un danseur… Non, d’un enfant soldat ! Le corps percu, le corps chant, le corps marionnette, le corps d’un danseur … Non, d’un enfant soldat ! La vérité qui se danse, danse du pleur, de la peur, de la haine, danse de la dignité. Le corps bat le tempo, s’approprie l’espace, espace de liberté, espace de traumatismes anciens. Un espace pour raconter des histoires… Dans sa chorégraphie, Djodjo Kazadi s’approprie l’espace et le tisse au temps. Espace monotone et répétitif, qui fait naître le mouvement. L’enfance de trois jeunes enfants au Congo, au début des années 90.